En février, le Défi 28 jours sans alcool permet à la Fondation Jean Lapointe de récolter des dons pour la prévention des toxicomanies chez les adolescents. Voyez 10 personnalités qui ont décidé de relever le défi!
Jay du Temple
«Pour moi, il s’agit d’une opportunité d’offrir à une cause qui mérite plus de visibilité et de partager son message tout en prenant soin de moi. Vive l’eau pétillante! Votre don de 28$ est important. De mon côté, je monte la mise d'un cran en m'engageant à remettre 100$ par jour durant mon défi à la Fondation Jean Lapointe.»
Valérie Roberts
«Depuis plusieurs années, mon mari et moi ne buvons pas pendant un mois. Pour notre santé, pour réaliser à quoi ressemble notre relation avec l'alcool, pour se rappeler que l'on vit très bien même si on ne consomme pas. Pourquoi? Parce que sincèrement, je pense que notre société est beaucoup axée sur le plaisir autour de la consommation. Je pense qu'il est primordial d'appuyer la prévention pour éviter la surconsommation.»
Renaud Blanchet d'OD Grèce
«J’ai toujours eu une admiration totale pour les gens qui souhaitent changer afin d’avoir un meilleur avenir. J’ai aussi un grand respect pour les personnes qui se relèvent malgré une situation difficile qui a marqué leur vie. Pour moi, il est absolument naturel de vouloir participer au Défi 28 jours sans alcool de la Fondation Jean Lapointe parce que je prône les saines habitudes de vie. Je souhaite m’impliquer afin de sensibiliser ma communauté aux moyens que l’on peut tous prendre, des actions quotidiennes afin d’avoir une vie saine et divertissante. Je désire montrer qu’il est possible de se divertir sans drogue ni alcool. La Fondation a recueilli et distribué plus de 21 millions de dollars depuis son existence en 1982. Chaque geste compte et c’est pourquoi je tiens à faire ma part dans ce défi afin de partager mon expérience et qui sait, changer la vie d’une personne. C’est un immense privilège d’avoir une tribune comme la mienne et il est primordial pour moi de faire circuler un message d’espoir, de positivité et de détermination.»
Jean-Philippe Wauthier
«Le simple fait de s'inscrire au Défi 28 jours a déjà un immense impact sur soi et sur les jeunes. Votre don de 28$ permet justement de prévenir deux adolescents. Imaginez notre force collective et son effet multiplicateur si chacun de nous fait le saut et s'inscrit. Joignez-vous à moi!»
Martin Juneau
«Je consomme de l'alcool pour mon entreprise. C'est mon boulot que de déguster des vins afin de les importer ou encore bâtir mes différentes cartes. Je consomme donc à l'année et c'est la norme dans mon environnement. En restauration, le temps des Fêtes est aussi le moment le plus achalandé de l'année. On travaille fort, on picole beaucoup. C'est pourquoi, depuis trois ans, je considère avoir besoin d'un break après toute cette effervescence festive. Et je me suis rendu compte que ça me faisait du bien. Physiquement, c'est évident. Mais mentalement aussi. Ça me permet de prendre du recul sur ma consommation personnelle, et les raisons pour lesquelles je consomme. Bien que je me considère un amoureux des vins, ça fait du bien de savoir que je peux arrêter par choix et recommencer avec plaisir, mais avec modération. L'idée c'est de trouver un équilibre. Je côtoie beaucoup de jeunes qui boivent beaucoup, en restauration. Si je peux inspirer quelques jeunes à moins boire de façon systématique, j'aurai atteint mon but. C'est un peu ça aussi, pour moi, le Défi 28 jours sans alcool.»
Éliane Gagnon
«Il y a 3 ans, le 27 février, j’ai arrêté de consommer alcool et drogues parce que les abus m’ont menée trop loin, ils m'ont rendue une personne que je ne veux plus être. Le défi 28 jours, c’est important pour nos jeunes, pour les sensibiliser aux risques liés à l’alcoolisme, la toxicomanie et qu'ils puissent avoir la liberté de choisir, s'ils consomment ou non. C'est aussi, pour tous ceux qui souhaitent se conscientiser face à leur rapport à l'alcool. Mon parcours m'a amenée à fonder Soberlab pour faire la promotion d'un mode de vie sain et montrer à tous ceux qui ont besoin d'espoir, que c’est possible une vie heureuse sans consommer. Dans une société où la (sur)consommation est valorisée, voire encouragée, le défi devient l'occasion idéale pour réaliser l'impact de celle-ci dans nos vies. Est-elle contrôlable? Amusante? Néfaste ? Vous le découvrirez en tentant de relever le défi cette année! Vous vous joignez à l'équipe Soberlab?»
Josiane et Carolane Stratis
«Chaque année, c'est une fierté pour nous de s'impliquer dans le 28 jours sans alcool. Non seulement nous avons participé à chacune des éditions de cette levée de fond (tantot en formant des équipes ou en étant ambassadeur), mais c'est une des causes qui nous touchent le plus. Étant mères de jeunes enfants, c'est important pour nous de leur apprendre à consommer de la bonne façon et la prévention est la meilleure façon de le faire, selon nous.»
Eva Avila
«Ça fait maintenant plus d’un an que je vis sans alcool. Pas même une seule goutte. Il m’aura fallu plusieurs tentatives de modération, à maintes et maintes reprises, avant de finalement comprendre que dans mon cas, l’alcool ne met convient tout simplement pas. L’abstinence totale est clairement l’option pour moi. Et je suis plus heureuse, plus sereine et plus épanouie que jamais aujourd’hui, suite à ce virage important dans ma vie. Je sais que je ne suis tellement pas la seule… L’alcool est partout. Est-ce si nécessaire d’en boire? Pourquoi ceux qui ne boivent pas doivent-ils se justifier? C’est parce que l’alcool est une drogue omniprésente et socialement acceptée, voire même encouragée - mais ça reste une drogue. Une drogue extrêmement addictive qui peut être sournoise, dangereuse, même mortelle. Woohoo, c’est joyeux comme témoignage hein! Lol… Mais sans blague, pour certains, l’alcool peut être un petit plaisir à déguster de temps en temps, mais ça doit s’arrêter à ça. Nos enfants et nos ados nous voient et nous imitent, donnons l’exemple!
Comme j’aurais aimé être mieux éduquée et mieux conscientisée face aux dangers de l’alcool quand j’étais plus jeune!
C’est pour cette raison que le défi 28 jours me tient tant à coeur: les fonds amassés contribueront directement à l’éducation de nos ados face à l’alcool, et à ça je dis un gros OUI! Qui me suit et embarque dans mon équipe?? Let’s go!! :)
Un gros merci!! xx»
Maïka Desnoyers
Maïka, qui attend la cigogne avec son amoureux Étienne Boulay!
«Combien d’entres-vous faites le défi 29 jours sans alcool? Ici, j’étais censé le faire, mais le bon dieu a décidé que ce serait un 28 jours X 9 mois ♀️»
Camille DG
«Pendant le mois de février, c’est le #defi28jours! Je sais, ce n’est pas toujours facile de résister à boire un verre... j’ai une solution pour vous! 3 restaurants du Vieux-Montréal proposent « La Carte Sans Compromis », une carte de mocktails, de bières et de vins sans alcool, composée de nouveaux produits choisis tout spécialement pour l’occasion.Pour chaque cocktail sans alcool, chaque bière ou verre de vin vendu, un don de 1 $ à la Fondation Jean Lapointe et de 2 $ pour chaque bouteille de vin. Durant le mois de février, soutenez la lutte contre la dépendance chez les jeunes en visitant la @Brasserie701, le @ModavieMtl ou le @BevoPizza. Vous vous demander ce qu’est ce défi? Au cours du mois de février, La Fondation Jean Lapointe invite tout le Québec à se joindre à la lutte contre la dépendance à l’alcool et aux drogues dans le cadre du Défi 28 jours sans alcool.»
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