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En mai dernier, le populaire boxeur québécois Jean Pascal échouait à un test antidopage et recevait la confirmation par la Voluntary Anti-Doping Association (VADA) qu'il avait été déclaré positif à trois stéroïdes anabolisants: l’épitrenbolone, la drostanolone et la drostanolone métabolite.
Embarrassé et sous le choc, il avait par la suite confirmé via ses réseaux sociaux qu’il avait été déclaré positif à des substances interdites, apportant toutefois une nuance: il n’avait jamais pris volontairement des stéroïdes.
9 mois plus tard, le boxeur confie avoir passé une période très sombre après l’annulation de son dernier combat et la privation de son titre de la WBA.
C'est via Instagram que le boxeur de 39 ans a décidé de «rétablir les faits», après la dépression qu'il a vécue dans la dernière année.
Selon lui, il n'a jamais refusé et ni échoué un test antidopage de sa vie. Le boxeur prétend qu'il ne mérite pas de vivre tout ce qu'il a vécu depuis qu'il est sous les feux des projecteurs... quelque chose qu'il ne mérite pas, selon ses dires.
Jean Pascal dévoile d'ailleurs qu'il a fait un test additionnel afin que l'on analyse l'un de ses cheveux en laboratoire.