Jean-Luc Mongrain a accordé une entrevue à Guylaine Tremblay cette semaine à la télévision.
Lors de cette rare apparition télé, le célèbre éditorialiste et animateur a révélé quel était son nouveau projet: il planche sur un nouveau livre!
Jean-Luc Mongrain, qui a publié ses conseils de communicateur dans un ouvrage paru en 2015, partagera cette fois-ci ses anecdotes de métier. Voici ce qu'a confié le journaliste devant les caméras de Sucré Salé:
«Je suis en train d’écrire... mais pas une biographie. Plus un cheminement médiatique, comment ça marche le milieu, comment mon parcours a été, qu’est-ce que j’ai vécu. Beaucoup d’anecdotes sur ma carrière.»
Un livre qui attirera les curieux, les amateurs de potins ainsi que les milliers de fans de Jean-Luc Mongrain qui l'ont suivi à la télévision pendant des années!
Toujours au niveau professionnel, la star québécoise révélait l'automne dernier sur les ondes de Noovo s'être lancé dans la formation. Il aide ceux qui aspirent à prendre la parole en public en partageant son expertise.
Psitt! Si vous vous êtes déjà demandé si l'animateur du Grand Journal et de Mongrain de sel jouait un personnage lorsqu'il s'emportait à l'écran, on a la réponse juste ici!
L'automne dernier à Je viens vers toi, Marc Labrèche recevait un Jean-Luc Mongrain plutôt libre quant aux confidences. On en a appris des bonnes comme on dit!
C'est au cours d'une entrevue rythmée et très naturelle, que l'ancien animateur télé s'est confié sur le fait qu'il n'a jamais travaillé avec un télésouffleur mais qu'il avait un écran devant lui pour pouvoir se voir. La blague de narcissisme nous a bien fait rire!
Ensuite, toujours dans les confidences, le journaliste s'est exprimé sur le fait que selon lui, la société aurait perdu une échelle de valeur et manquerait de débats.
Une question a particulièrement retenu notre attention et c'est quand Marc Labrèche a demandé à Monsieur Mongrain s'il avait l'impression d'avoir eu la reconnaissance qu'il méritait de ses pairs. Après quelques blagues et une phrase célèbre de Jules César, il nous a fait comprendre que non.
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