Dans Violence, une journée ordinaire bascule entre Montréal et Paris, alors qu’un tueur à gages retraité, Marcel, est contraint de reprendre du service. Chargé d’exécuter deux meurtres dans un restaurant montréalais, il déclenche sans le savoir une série d’événements inattendus qui mettront en péril la vie de sa propre fille, de l’autre côté de l’Atlantique.
Mais Violence n’est pas un simple film de bandits. C’est un récit choral où les destins de huit personnages se croisent, chacun confronté à des choix qui mettront leur humanité à l’épreuve. Du banal à l’extraordinaire, cette histoire navigue entre tension et émotion, offrant une profonde réflexion sur la compassion et la bienveillance au cœur du chaos.
La distribution du film Violence réunit un impressionnant mélange de talents d’ici et d’ailleurs, avec Kelly Depeault, Sophie Desmarais, Jean-Simon Leduc, Maxim Gaudette, Charles-Aubey Houle, Gérard Lanvin, Henri Picard, Louise Coldefy, Damien Bonnard, Léopold Lafontaine, Louise Proulx, Etienne Lou, Tony Calabretta, Yoann Blanc, Florence Maiset et Luc Picard.
Le père et le fils ont déjà partagé l’écran. On se souvient tous de cette scène marquante dans le film L’Audition, un monologue de plusieurs minutes du personnage joué par Luc Picard qui fait ses adieux à son fils. Ce dernier verra la cassette quelques années plus tard, alors que son papa est décédé : c’était Henri Picard, le petit garçon de l’époque.
Le film Violences est attendu dans les salles de cinéma en 2026.
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