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Marilou de Trois fois par jour dénonce une décision de Longueuil et la mairesse répond!

Alors que l'entreprise Trois fois par jour prend de plus en plus d'expansion chaque jour, Marilou s'est butée à quelques embûches récemment concernant une décision de la ville de Longueuil.

C'est via ses réseaux sociaux que l'entrepreneure a expliqué la fâcheuse situation dans laquelle elle se trouvait, après avoir essuyé un malheureux refus.

«On m’avait averti ne fait pas la demande en bonne et due forme, fais juste le faire!. Mais je n’étais pas capable. La @ville_longueuil me refuse le droit d’afficher le mot BOUTIQUE sur une bâtisse que je viens de rénover et qui attire de magnifiques clients dans un quartier qui manque clairement d’amour. Une demande de dérogation mineure coûteuse, on me dit que je ne peux pas avoir deux enseignes sur une bâtisse.La raison? c’est comme ça.

Accepter cette dérogation ne nuirait à personne, surtout que le design proposé est sobre et discret. En revanche, elle serait bénéfique pour tant d'artisans locaux qui fabriquent la centaine de produits qu'on vend ici.

On s'entend, j'ai des défis et des problèmes bien plus grands que celui-là dans ma vie, mais avant d'abandonner ce processus (parce que je préfère mettre mon temps et mon argent ailleurs), je dépose cela ici pour encourager les gens de pouvoir qui me suivent (provenant certainement d'autres villes du Québec) à encourager les petites entreprises qui vous choisissent.», confie Marilou, au sujet de sa boutique sur le boulevard Marie-Victorin.

Il n'en fallait pas plus pour que la mairesse de Longueuil, Catherine Fournier, lui réponde via sa page Instagram, afin de lui donner des précisions. 

«Des informations circulent présentement sur les réseaux sociaux à l'effet que la Ville de Longueuil aurait refusé une demande de dérogation mineure visant à permettre l'installation d'une deuxième enseigne sur la façade de la bâtisse récemment rénovée de l'entreprise Trois fois par jour.

En réalité, la demande n'a jamais été présentée au Comité consultatif d'urbanisme (CCU) - composé d'élu.es et de membres de la communauté & instance chargée de trancher la question —, puisque la demanderesse n'en a tout simplement pas fait la requête lorsque la Direction de l'aménagement et de l'urbanisme lui a soumis la marche à suivre pour déroger règlement en vigueur. Il est cependant toujours possible pour elle de le faire.

Notre administration est animée par la volonté de soutenir du mieux possible les entreprises de chez nous, en plus de travailler activement à la simplification du cadre réglementaire applicable. Nous continuerons d'agir en conséquence.»

Rappelons que les deux jeunes femmes se connaissent déjà puisque l'ex de Marilou, Alex McDuff, a été en couple avec la mairesse après sa rupture avec Marilou!