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Cette semaine, c'est au tour de Martin Vachon de se confier dans le Journal de bord de Big Brother Célébrités.
L'humoriste, qui été en isolement après avoir attrapé la COVID-19 au début de l'aventure, est cette semaine forcé de porter une immense framboise gonflable dans tous ses déplacements.
Martin Vachon s'ouvre sur ce drôle de défi qu'il a accepté de relever, mais aussi sur les candidats qui risquent le plus de se faire éliminer au cours des prochaines semaines. La star se confie aussi sur son grand désir de devenir patron la semaine prochaine.
Voici le Journal de bord de Martin Vachon de Big Brother Célébrités :
Lors de la soirée d’éviction, j’avais beaucoup de misère à gérer ma relation avec Karl. Je voulais respecter le plan de Marc-Antoine, qui est mon allié. J’ai averti Karl qu’il allait être sur le bloc, et je lui ai expliqué que je voulais lui donner un vote de solidarité, mais quand il a fait son discours, il a fait une déclaration de guerre. Ici, tout le monde cherche des prétextes pour te mettre en danger alors, si je m’étais ouvertement affiché contre la maison en votant pour sauver Karl, je mettais mon jeu à risque. J’ai dû flipper mon vote de bord, en marchant vers le confessionnal, à la dernière minute.
La façon dont Karl est parti, j’ai trouvé ça dommage, parce que ça ne représentait pas son aventure. Je pense qu’il ne lisait pas bien ce qui se passait dans la maison, et sa campagne, ça nous mettait dans une position où on devait lui mentir en pleine face. Il nous a comme obligés à lui mentir… C’est triste qu’il doive partir dans ces conditions-là. C’est une personne pleine de bonté et de talents.
En arrivant au challenge du patron, on ne pouvait pas se parler avant le go de Marie-Mai. Quand on a compris la nature du challenge on a vite constaté qu’on devrait se mouiller. Il fallait être public dans ses attaques. C’est difficile, parce que tu as le goût de parler et de regarder tes alliés.
Beaucoup de monde avait peur de moi pendant le challenge, donc j’ai passé plus de temps à essayer de sortir de la plateforme que le temps que j’ai passé à jouer. Et au niveau du costume, à Hugo ça allait bien, avec les cuisses qu’il a, mais moi j’avais l’air d’un serveur avec les patins à roulettes dans les années 70 au restaurant de l’Orange Julep. Casque, genoux coudes, ce n’était pas mon meilleur look. Je me sentais plus sexy quand j’ai animé un véto en épouvantail!
En plus, j’avais oublié sur le coup, mais le fait que je sois sorti en premier venait avec une conséquence.
La boule (que tout le monde ici appelle la framboise), j’ai trouvé ça drôle les 2 premières heures et… après je me suis dit : il en reste encore 160! J’ai sacré la première fois après 5 jours, c’est quand même bien! J’ai mal aux trapèzes, je ne passe pas dans les cadres de porte… tout est compliqué! M’habiller, mettre des bas… c’est long une semaine!
Mais n’importe quoi pour faire rire, je vais le faire. Je le fais pour le gag et je sais que mes enfants doivent rire.
C’est une relation d’amour haine avec la framboise. Une chose que les gens ne savent peut-être pas, c’est que ce costume n’est pas fait pour vivre dedans 24/7, et donc je suis rendu à ma 3e framboise… Y’en 2 qui se sont brisées par des fuites d’air ou autre. Et là c’est Marc-Antoine qui me gonfle et il maximise l’air dans ma balloune alors je suis plus gros que jamais.
Hier soir, on a dansé toute la soirée et là ça commence à puer, l’odeur passe comme de la fumée dans une cheminée et ça me remonte au nez. Je suis pas mal tanné.
Outre mon costume, beaucoup d’affaires se passent cette semaine. Lysanne comme patronne, ça m’arrange. J’ai une alliance avec elle qui s’appelle «la salade de fruits» à cause des affinités qu’on a avec les gens de la chambre des confinés. J’étais surpris de l’annonce de Cath et Clau sur le bloc, parce que Michelle était impliquée dans les discussions… mais je me suis promis de ne pas trop me mêler des cibles quand je ne suis pas au pouvoir, parce que ça va se savoir. Et là, lors de la mise en danger, PL explose! Il expose Mich et il dit à quel point elle manipule, il la confronte devant tout le monde. Sur le coup, je suis apeuré parce que c’est mon alliée principale. Moi à ce moment, je suis en « damage control », je dois jouer la carte de l’idiot, sortir mon jeu de comédien pour demander à tout le monde leur version des faits.
Michelle, je savais qu’elle disait des affaires aux autres, j’ai réalisé qu’elle était bonne pour mettre des choses dans la tête des gens… mais elle l’a trop fait. Elle était trop avancée dans son jeu. La maison veut voir Michelle sortir.
Dans ces situations je me demande comment je devrais réagir et je me rappelle que je dois penser de façon réaliste. J’ai su cette semaine par Lysanne que mon nom a sorti pour être un pion. Je garde en tête que je suis une menace. Ici, je suis parano et le fait d’être proche de Michelle, ça me met dans une situation difficile. Les gens me voyaient comme un allié de Michelle, mais en même temps, elle a dit tellement de choses aux autres qu’elle m’a aidé à pouvoir jouer l’idiot.
Tout ça rendait la pige du véto moins stressante qu’à l’habitude. Personne ne voulait se mettre la maison à dos et tout le monde voulait jouer pour compléter le piège.
Par contre, le challenge du véto était pénible même si je ne jouais pas. Assis dans la framboise, il n’y a aucune position confortable. Le plus pénible c’est que pour en avoir parlé la semaine un avec Marc-Antoine, je connaissais sa technique pour ce challenge, de cacher toujours plus la sienne, alors je savais que ça allait être long. Très long. Comme spectateur, c’était in-ter-mi-nable. Cela dit, le bordel de la maison était moins pire que ce à quoi je m’attendais pour avoir vu la saison 1. Les joueurs qui ont fait le bordel ont clairement gardé en tête qu’ils allaient devoir ramasser. Ils ont fait ça dans le respect et tout le monde a aidé à ranger.
Ce que les gens doivent comprendre, c’est qu’à la cérémonie du véto, les mises en danger se sécurisent, alors quand tu réalises que tu es sauf pour la semaine, c’est un poids de moins. J’étais donc content que mon nom ne sorte pas. Mais, le nom à Mich sort. Elle est brutalement honnête et elle dit : «Je n’ai pas le goût que les gens qui veulent me sortir de la maison me touchent.» Ça a fait énorme malaise dans la maison. Je me sentais assez proche d’elle avec Steph pour aller lui démonter mon amitié. Je l’ai rassuré en lui disant qu’humainement tout le monde l’aime et que c’était purement stratégique. Tous les drames ici sont reliés au jeu et pas aux personnalités. À cause du jeu, y’a jamais de moments tranquilles… C’est une montagne russe d’émotions extrêmes.
Mon choix est fait pour l’éviction, et j’ai hâte d’y arriver, mais surtout pour sortir du costume de la boule. Je vais crier, je vais manger, je vais aller dans le spa, je vais aller au gym! Pas de framboise je vais réaliser qu’on est bien. J’ai très hâte!
Si je suis patron la semaine prochaine, ça va être une semaine de grandes décisions. Je vais devoir me dévoiler. Les gens que j’aime le plus côté stratégie, c’est Marc-Antoine et Stéphanie… mais eux ne jouent pas ensemble, je ne peux pas leur proposer un top 3. Dans les prochains jours, je dois déterminer avec qui je veux me rendre jusqu’à la fin. Quand t’es pas en position de pouvoir, la technique est de survivre. Les gens m’ont inclus dans des alliances… que je n’ai pas nécessairement choisi. Je suis dû pour gagner. C’est quelque chose, mais c’est le plaisir du jeu, tout change tellement vite. Je vais me trouver une manière pour m’en sortir une semaine de plus, parce qu’on le vit vraiment une semaine à la fois!
Les propos de Martin ont été recueillis par la production de façon confidentielle et privée à l’intérieur de la maison, puis retranscrits tels qu’ils ont été dits. Ne manquez pas Big Brother Célébrités du dimanche au jeudi à 18h30 sur Noovo et Noovo.ca!
Psssttt...! Une twist jamais vue dans la téléréalité québécoise arrive la semaine prochaine! Découvrez tous les détails!
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