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L’autrice-compositrice-interprète et autrice Stéphanie Boulay s’apprête à marquer un nouveau chapitre dans sa carrière artistique!
Plus assumée que jamais, elle dévoilera son deuxième album solo en avril 2025, précédé d’un premier extrait attendu dès le 16 janvier.
Entre introspection, liberté artistique et audace renouvelée, cet opus s’annonce comme une œuvre à la fois intime et décomplexée.
Connue comme «la moitié blonde» du duo les Sœurs Boulay, Stéphanie a décidé de ne plus essayer de se définir ou de se contraindre. Forte d’un parcours éclectique, qui inclut des études en musique et en littérature, elle s’est illustrée dans plusieurs sphères: on l’a lue (À l’abri des hommes et des choses, Anatole qui ne séchait jamais - Prix TD), entendue dans les médias et admirée sur scène avec sa sœur, récoltant un disque platine et de nombreux honneurs pour leurs albums.
En 2018, elle avait tenté l’aventure en solo avec Ce que je te donne ne disparaît pas, un projet qu’elle avait rapidement rangé, par gêne ou par peur. Mais cette fois, elle revient seule, sans gêne et sans peur, avec un album qu’elle qualifie de cru, intime, mais aussi dansant et libérateur... et résolument pop!
Ce nouvel album s’ancre dans une démarche d’« extimité », où Stéphanie s’est autorisée à parler d’elle-même sans détour.
«C’est dans une démarche d’extimité absolue que j’ai recommencé à écrire seule à la fin de 2021. Au milieu de ma trentaine et de ma maison, seule, sans enfant ni amoureux, j’ai cherché un sens à ma vie. Dans cette solitude terrifiante, j’ai impudiquement choisi de parler au je et de faire de moi le matériau principal de mon écriture, de déshabiller toutes les parties gênées, honteuses et désabusées de moi pour essayer d’en faire quelque chose de beau, puisque c’est tout ce qu’il me restait. C’est épaulée par le réalisateur Alexandre Martel, autant dans le son que dans la démarche, que j’ai réussi à aller au bout, à me présenter avec cette insolence et cette liberté, sans m’excuser, pour raconter cette histoire, qui pourrait être triste mais qui ne l’est pas.» explique Stéphanie Boulay.
Accompagnée du réalisateur Alexandre Martel, elle s’est permise une liberté totale, tant dans ses textes que dans les sonorités qu’elle propose.