Publicité
Publicité - continuer votre lecture ci-dessous
Début du contenu principal.
Publicité
Des cybercriminels utilisent présentement l'image de Karine Vanasse afin de frauder les internautes!
Un peu comme on l'a souvent vu avec les fausses publicités mêlant drame et cryptomonnaie avec Normand Brathwaite, celles de Karine Vanasse sont présentées comme une nouvelle artistique. Les fans sont tentés de cliquer car le titre, «La fin tragique de Karine Vanasse», pique leur curiosité.
Malheureusement, ils se retrouvent ensuite dans un décor Web similaire à un hebdo qui n'est en réalité qu'une plateforme pour voler les informations et l'argent des internautes.
Voici à quoi ressemblent ces fausses publicités-chocs, qui utilisent ces jours-ci les visages de Karine Vanasse et Maripier Morin:
La comédienne n'a pas encore fait de mise en garde sur ses comptes officiels.
Nos collègues de Noovo Info ont fait une petite enquête afin de savoir ce qui arrive lorsqu'on clique sur ces fausses nouvelles. La journaliste s'est retrouvée sur un site à l'allure d'un journal comme le JDM ou le Devoir où l'on peut lire que les artistes en question auraient «des ennuis parce qu’elles auraient révélé l’existence d’une plateforme financière secrète» qui leur aurait permis de devenir riche en peu de temps.
C'est alors que vous pouvez remplir un formulaire et qu'un cybercriminel vous contactera afin de tenter d'obtenir vos informations et de l'argent.
Notre conseil: évitez de cliquer sur les liens de ces fausses publicités à tout prix, même si vous êtes curieux!
Priorisez les adresses Web sécuritaires, comme https://www.noovomoi.ca/en-vedette.html par exemple, et les comptes Facebook et Instagram officiels des journaux et des sites de nouvelles artistiques que vous aimez consulter.
Lors de son passage à l'émission Bonsoir bonsoir, Normand Brathwaite a exprimé sa frustration envers les publicités frauduleuses utilisant son image sans son consentement.
Dès le début de l’émission de mercredi soir, l'animateur Jean-Philippe Wauthier a abordé ce sujet avec lui.
«Je suis content de t’avoir en santé parce que, pour ceux qui se promènent sur Facebook depuis un moment... t’es mort! T’es blessé! Tu fais tous les temps», a lancé Jean-Philippe, visiblement aussi perplexe que nous devant ce phénomène numérique troublant.
Vous aimerez aussi: