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Brandon Prust a complètement dérapé cette semaine, sur Twitter.
Depuis le tout début de la pandémie de coronavirus, l’ancien joueur du Canadien de Montréal ne cesse de critiquer les décisions du gouvernement dans la gestion de la crise sanitaire, s'affichant du même coup contre la vaccination.
Cette semaine, Brandon a explosé sur Twitter et a fait une crise monumentale, s'en prenant violemment à une femme avec qui il était en désaccord à propos des mesures sanitaires.
«Donc ça veut dire que le gouvernement peut me forcer à faire tout ce qu’il veut? J’espère qu’il te forcera à faire du trafic sexuel pour que tu puisses enfin te faire bai*er espèce de mouton... J’ai payé plus de taxes pour ces routes que le montant que tu peux même rêver d’avoir dans ton compte. Tu mérites de rester dans ton sous-sol. Pas moi!», a-t-il écrit agressivement à une abonnée sur le réseau social.
Iiiii là, là... on repassera pour la classe et le bon jugement!
Rapidement, les internautes se sont emportés eux aussi, ramenant Brandon à l'ordre et lui faisant remarquer qu'il avait été beaucoup trop loin. Qu'il se devait de faire des excuses immédiatement... ce qu'il a tenté de faire, maladroitement, le mal étant déjà fait!
«Essentiellement, je disais que le gouvernement ne devrait pas avoir le droit de forcer qui que ce soit à faire quoi que ce soit. Ce serait comme forcer quelqu’un à faire du trafic sexuel. Comme d’habitude, les gens ont tout pris hors contexte.»
«Je voudrais m'excuser auprès de la dame à qui j'ai répondu. Elle a supprimé son tweet donc, je ne peux pas la retrouver. Mon intention n'était pas d'offenser qui que ce soit, c'était une mauvaise blague. Je m'excuse pour mon mauvais choix de mots. J'espère que le gouvernement n'obligera personne à se lancer dans le commerce du sexe!»
Finalement, Brandon a publié un dernier message annonçant qu'il prenait une pause des réseaux sociaux, se donnant du temps pour méditer sur ses agissements et l'importance des mesures sanitaires en temps de crise.
«Après une mûre réflexion personnelle, en plus d’avoir reçu les conseils de ma famille et de mes amis, ainsi que d’avoir vu la réaction de la communauté, je comprends que ce que j’ai écrit est inacceptable.
Je ne pardonne pas et je n’encourage pas la violence faite contre les femmes. Je respecte énormément les femmes. Je vais aussi travailler afin de mieux comprendre les mesures sanitaires.
À Elizabeth MacAuley, je m’excuse sincèrement. Je dois être plus conscient de l’impact que peuvent avoir mes propos sur les autres.
C’est un grand moment d’apprentissage pour moi, a-t-il renchéri. J’ai rejoint des experts afin de mieux m’éduquer face à l’utilisation des médias sociaux. Je vais travailler dans ce sens jusqu’à ce que je puisse transformer mon erreur en quelque chose de meilleur. Je vais aussi faire des dons à des organismes qui travaillent en ce sens.
Je vais prendre une pause des médias sociaux afin de mieux m’informer. Merci à tous ceux qui m’ont permis de m’ouvrir les yeux afin de commencer ce parcours qui me permettra de devenir une meilleure personne.»
La crise sanitaire fait réellement perdre la tête (et le bon sens!) de plusieurs!
On se rappelle le moment peu glorieux où la mère de Jérémy Gabriel a souhaité des «vacances sur la chaise électrique» à François Legault...
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