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En Vedette

Jean-Luc Brassard dénonce des braconniers et en paie le prix!

La semaine dernière, dans sa chronique radio, Jean-Luc Brassard a dénoncé les activités illégales de braconniers qui pêchent illégalement des saumons en vandalisant la flore aux abords du fleuve Saint-Laurent, à Valleyfield.

L’ancien champion olympique de ski de bosses a raconté en ondes que des pêcheurs et braconniers opéraient de nuit près de chez lui afin de faire de la pêche illégale, en utilisant des grappins.

Victime de représailles, Jean-Luc s'est tourné vers ses réseaux sociaux pour mettre en lumière ce qui se déroulait sous ses yeux!

«J’ai dénoncé publiquement (et aussi en personne!) les braconniers qui accrochent les saumons sur le dos à l’aide de grappin.
Ils font ces actes à répétitions derrière chez nous, dans un bras du St-Laurent, parfois le jour, mais principalement la nuit durant à l’aide de puissantes lampes frontales.

Visiblement ils n’aiment pas que leurs actes répréhensibles soit connus, alors vendredi dans la nuit, ils ont déposés 4 saumons, tête coupés, à différents endroits sur notre propriété.

Sur l’entrée de cours, le long de la maison, sur le trampoline des enfants, et finalement, dans la boîte aux lettres!

Pour leurs satisfactions, je doit dire que j’ai fait le saut en l’ouvrant ce matin ! Et je ne vous parle pas de l’odeur!!!

Pourquoi dénoncer? Parce que si personne ne le fait, nous allons tous payer le prix pour des bandits qui s’octroient tous les droits, ne paie jamais leurs amandes, ( certain en ont pour plus de 100 000$, mais n’ont rien à saisir ), vides nos lacs et rivières , et ne reçoivent que peu, ou aucune punition pour leurs délits répétitifs.
Ils font pitiés, essaient de vivre, l’inflation les affligent …. Non non non et non,

Ce sont vraiment la crasse de la crasse de la société, des pros à savoir leurs droits et leurs avantages. Ils vendent les filets avariés de ces poissons en période de fraie alors qu’il sont en fin de vie aux pauvres mondes de la ville!

Une fois le saumon terminé, ce sera le doré, maskinongé et autres poisson. Pour eux, pas de quotas, pas de limite, et surtout, pas de problème!

Vous voulez continuer à payer pour ces racailles, pas moi!
»

Mécontents de sa sortie publique, des braconniers ont dispersés des saumons décapités à plusieurs endroits sur son terrain, dont dans sa boîte aux lettres, sur le trampoline de ses enfants et un peu partout sur son terrain.