C’est sur Instagram et Facebook que la maman de deux beaux enfants a dévoilé son projet qu’elle a nommé Sœurs de seins, visant à ce qu’aucune femme ne vive la maladie seule.
Cette page, c’est un pont. Entre une femme qui commence et une qui continue. Entre celle qui vit le cancer du sein, et celle qui l’a traversé.
Avec ce groupe, elle propose des jumelages bienveillants aux femmes, afin de permettre aux femmes d’échanger, de jaser, de s’écouter, de se comprendre.
Un groupe rempli de bienveillance
La première publication a présenté le visuel de ce touchant groupe de partage, et a permis d’expliquer le concept aux abonnés qui s’accumulent rapidement. Lisez son message complet dans la publication ci-dessous.
Déjà, plus de 6 000 abonnés se sont rassemblés sur la page Facebook et Instagram.
Geneviève Everell compte y partager des anecdotes liées à tout ce que les personnes vivant un cancer du sein vivent. Elle a précisé que sous chaque publication, «vous serez invitées à partager à votre tour ce que vous vivez ou avez vécu en lien avec le thème.»
À partir de 50 ans, chaque femme est invitée à passer aux deux ans un test de dépistage du cancer du sein. Il s’agit d’une mammographie qui permet au spécialiste de voir toute anomalie ou tumeur suspecte dans les tissus des seins.
Avant 50 ans, il est tout de même suggéré de bien examiner ses seins par soi-même et de souligner les anomalies à un médecin.
Plus le cancer est diagnostiqué tôt, meilleures seront les chances de s'en sortir sans trop de séquelles.
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